Comment se procurer du l’art ?

Nul besoin de s’équiper d’un radar,
De fouiller la France et Navarre,
Ou de s’envoler direction Dakar !
Il ne s’agit pas de trouver « Or Ni Car ».
De temps en temps exposé dans les hangars,
On n’en trouve jamais dans les bars.



Ceux qui cherchent, viennent de toute part.
Il y a ceux qui déambulent d’un air hagard,
D’autres préfèrent y allez dare dare.
On peut s’y prendre comme un renard,
Mais que ce soit à pied, à vélo ou en car,
Ils sont tous près à parcourir des hectares.



Ne pas en trouver n’est pas une tare !
Le prendre à d’autre, c’est finir en tolar.
Munissez vous de millions de dollars,
Il ne s’agit pas de verser des ares.
Pour beaucoup cela tourne au cauchemar,
Quand ils se trouvent à cours de pétrodollar.



Le sens le plus important n’est pas le regard.
Pour les impressionnistes, restons dans le brouillard !
En goûter, c’est s’approcher du caviar,
En sentir, se réclamerais du canular.
De l’alsace jusqu’à la région du Var,
En boire, c’est chercher du nectar.



Du coup de clairon sous l’étendard,
Aux requiem accompagnant le corbillard,
On peut en écouter du ringard.
De l’orchestre en passant par la fanfare,
Des saltimbanques, aux groupes de stars,
Cela nous touche quelques part.



Cette question provoque toujours du bazar,
Tout le monde voudrait en trouver le quart.
Cette question doit être traiter avec égard,
Nul besoins de raconter des bobars.
La question reste la même donc,
Comment se procurer du l’art donc ?



Septembre 2006

Soyez à l'aise...

Autant vous mettre à l'aise,
Mon orthographe provoque des malaises.
Cet incontournable préambule est nécessaire
Pour que chacun garde un pied sur terre !
Beaucoup de chose varie dans la vie,
Moi, c'est de l'orthographe qu'il s'agit.



Que n’a t on pas crié ?
Fautes avouées sont à moitié pardonnées !
Ce trait aurait pu être salutaire,
Malgré mes années de galère,
Où mes profs avaient comme objectif,
De me sortir du zéro significatif.



Et si tout se limitait à l'Orthographe simpliste ?
Mais voici que cette mégère de Grammaire insiste.
Elle porte de la voix ses commentaires
Et personne ne peu la faire taire.



De son complément d'objet direct,
Il restera toujours pour moi un mystère.
La valse des sujets et des verbes,
Ont toujours une lointaine rengaine.
Et que dire des conjugaisons,
Auquel je n’aurais jamais d’addiction !
Sans parler de ces règles assommoirs,
Qui n’ont pas trouvé de case dans ma mémoire !



Orthographe et Grammaire !
J’ai beau parlé votre langue,
L’écrire me dérange.



Orthographe et Grammaire !
Il me fallait bien quelques vers,
Pour oublier ces deux pervers.



Septembre 2006